Le Tétras lyre voit son aire de présence ainsi que ses effectifs reproducteurs diminuer depuis une vingtaine d’années sur l’ensemble de l’arc alpin :
Il s’agit aussi d’une espèce parapluie, c'est-à-dire représentative de l’état d’un écosystème et dont les mesures de préservation profitent à celui-ci.
S’ajoute à cela la dégradation, la destruction des habitats favorables au Tétras lyre. Sa conservation du Tétras lyre a été jugée « défavorable, voire inadéquate au mieux » selon la méthodologie du Muséum National de l’Histoire Naturelle.
Plusieurs études scientifiques ont démontré les corrélations existantes entre la présence des secteurs aménagés, à savoir les pistes de ski, les sentiers, les remontées mécaniques, ou encore les pistes carrossées et la réduction des populations de Tétras lyre à proximité.
Les études menées sur l’effet des dérangements sur les individus ont montré qu’ils peuvent :